Retour sur l’hylémorphisme : l’âme et le corps s’appellent mutuellement. Quand un animal meurt, il cesse d’exister pour de bon : l’âme n’existe pas sans le corps, et le corps n’est un corps QUE moyennant la présence de l’âme qui le fait vivre. En est-il de même pour l’homme ? Comment et pourquoi peut-on (doit-on !) penser que l’âme humaine, à la différence de l’âme des animaux et de celle des végétaux, est IMMORTELLE ?